Gestion aéroport

Le Robot - Drone de la société Sky - Drone passe à l’attaque !

 

swinglet cam black 500pxSky - Drone propose un robot - drone destinés à chasser les oiseaux indésirables des espaces aéroportuaires.

 

Ce robot - drone sera habiller d'un revêtement imitant un rapace

 

Sky - Drone entend en effet chasser les oies et autres oiseaux des voies de trafic aérien grâce à son robot - drone

Ce robot - drone télécommandé vole grâce à une hélice rétractable et s’élève dans les airs avec une allure menaçante pour chasser les volatiles indésirables.

 

La lutte contre ce que l’on appelle en aéronautique le “risque aviaire”.

 

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Les aéroports et les compagnies aériennes désespèrent face à la multiplication des cas de collision d’appareils avec des oiseaux.

Aux Etats-Unis, selon la Federal Aviation Administration, le nombre de collisions signalées a quadruplé entre 1990 et 2008.

Aujourd’hui, en France, d’après les statistiques publiées par l’aéroport Toulouse-Blagnac, on enregistre chaque année plus de 100 collisions significatives avec des oiseaux. Plus de la moitié de ces incidents surviennent à faible altitude (moins de 50 pieds), à l’intérieur de l’espace aérien des aérodromes.

Au mois de juin dernier, à l’aéroport Schiphol d’Amsterdam, un avion de ligne a percuté un vol d’oies avant de parvenir à atterrir et à retourner à son point de départ sain et sauf, bien que l’un de ses réacteurs fût en feu.

 

Les aéroports du monde entier ont recours à un éventail de tactiques de plus en plus variées pour effrayer les volatiles. sysdrone-miniPour la plupart, ces méthodes existaient déjà il y a plusieurs siècles : pièges, épouvantails, signaux sonores et armes à feu. Quant aux nouvelles stratégies, on citera notamment les lasers qui dérangent les oiseaux, les systèmes de radar qui détectent les volées dangereuses et le GooseBuster [chasseur d’oies], un enregistrement numérique de cris d’alarme d’oiseaux en danger diffusé par des haut-parleurs.


Mais ces modes de défense des aéroports sont peu efficaces : les oiseaux s’en montrent tout au plus agacés. Si bien que, comme beaucoup d’autres, l’aéroport John F. Kennedy (à New York) se voit désormais contraint de payer des professionnels pour patrouiller avec des oiseaux de proie, notamment des faucons.

 

Malheureusement, ces techniques permettent uniquement de localiser les oiseaux et de les disperser, mais pas de dégager systématiquement les voies aériennes.

 

Programmé pour ne jamais croiser une voie aérienne.

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Sky - Drone sera la première entreprise à montré qu’il est possible d’intimider les gêneurs à plumes et de les forcer à quitter une zone dangereuse.

Le pouvoir du robot - drone repose sur la peur qu’il suscite, cette peur innée des oiseaux pour les prédateurs ailés. Rares sont les victimes potentielles à s’attarder afin de vérifier que le robot - drone est bien un oiseaux réel ; le robot - drone est donc efficace, sans faire de mal aux oiseaux.

 


Mais, si ceux-ci refusent de quitter une zone, le robot - drone peut les prendre en chasse

 

Les populations d’oiseaux se rendent vite compte qu’il y a un robot - drone dans les environs et en tirent tout de suite les contrôle 1conclusions”,

 

Aujourd’hui, le défi est de convaincre les loueurs potentiels que leurs robot - drone représentent réellement un plus.

 

Parmi les problèmes majeurs intrinsèques

La réglementation. La plupart des aéroports interdisent l’utilisation d’appareils télécommandés en raison des risques de collision avec les vrais avions et d’interférences avec les fréquences radio du contrôle aérien.

 

“L’ironie, c’est que l'on obtient la permission de faire voler un vrai faucon, que l'on ne peux pas contrôler, mais pas un robot”

Certains faucons patrouillant dans les aéroports sont eux-mêmes allés gonfler les chiffres des victimes aviaires des avions.

 

Un robot- drone, en revanche, peut être programmé pour voler de façon autonome à moins de 50 mètre du sol et ne jamais croiser une piste ou une voie de navigation aérienne.

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L’aile est l’élément le plus visible du système. D’apparence sobre, c’est un concentré de technologies qui fonctionnent en harmonie. Moins visible, mais presque plus important, est l’autopilote. En effet, sans ce dernier, l’aile n’aurait qu’une durée de vie très limitée. 

L’autopilote est un élément essentiel à la réussite du projet en effet, l’acquisition doit être complètement automatique pour que les vols soient standardisés et peu coûteux.



Le robot – drone n'effectue sa mission que sur demande des autorités aéroportuaires.

Il suis un vol parfaitement déterminer à l'avance et programmer pour être toujours le même.

Le robot – drone est stationner sur site et décolle pour effectuer sa mission sur demande envoyer à distance.

Le pilote distant suis en temps réel la mission et peu corriger la trajectoire à tous moment.

30 minutes d'autonomie en vol pour effectuer la mission

Prise de orto-photo en vol du site

Surveillance du site

 

 

swinglet labels 540
eight (typ.) 500 g

Battery Lithium-Polymer

Endurance (typ.) 30 minutes

Range Up to 10 km (go & back)

Propulsion Electric brushless motor

Flight speed 30-50 km/h

Communication link For remote control: 35 MHz

Navigation Up to 20 waypoints

Control and monitoring

software

Drag and Drop flight

planning, mission

reprogramming during flight

Digital Camera 12 MP, electronically

integrated

Ground station Notebook; preconfigured

hard- and software

 

 

L'objectif de Sky - Drone est de patrouiller dans plusieurs aéroports, qui sont de véritables aimants à oiseaux.

 

 

Aéroport de Charleroi

Aéroport de Liège

 

Sky Drone Security

Eric Trautzsch

 


Tél.: 0471459114

GSM.: 0479560143

Email : e.trautzsch@gmail,com

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